C’était un jour où on était en train de faire les préparatifs de la 2e session de la 9e législature de l’Assemblée populaire suprême.
Le Dirigeant
A la dernière étape de la préparation, selon le calcul, la réunion au premier jour prendrait plus d’une heure.
Comment réduire le temps de la réunion ne fût-ce qu’une minute ? Il examina de nouveau plus en détail les documents, dont le texte de rapport et la parole à faire par le Président ainsi que la procédure et les méthodes de la réunion.
S’adressant à un cadre, il s’informa sur la durée du rapport sur le budget de l’Etat, puis il souligna pour que le rapporteur se prépare bien à réduire le temps de présenter le rapport. D’autre part, pour trouver le moyen de réduire encore la durée de la réunion, il se renseigna une fois encore sur l’ensemble du procédé de la session, surtout concernant la nécessité de tirer des exemplaires du rapport pour les distribuer d’avance aux députés et l’ordre du jour.
Selon sa volonté, plusieurs moyens furent trouvés : les contenus du discours d’ouverture et de celui de clôture rendus plus concis, la lecture plus rapide du rapport, etc.
Enfin, le 11 avril 1991, la 2e session de la 9e législature de l’Assemblée populaire suprême eut lieu en présidence du Président
La session finie, le Dirigeant
(Nous remercier d’avoir fait nos efforts, alors qu’il s’est donné tant de peine pour…) Le cadre ne sut pas où donner de la tête.
Le temps réduit de la session n’était que de huit minutes. Cependant, pour ces huit minutes, le Dirigeant
Ces huit minutes témoignent de l’énergie et du souci dont le Dirigeant