Le 21 décembre 1996, le Dirigeant
N’arrivant pas à quitter ses yeux de la femme-agent de la circulation qui s’éloignait de vue, il a dit au cadre qui l’accompagnait qu’il lui faisait mal au cœur de les voir en jupe en plein hiver et qu’il faudrait les habiller de pantalon ouaté. Il a instruit aussi de fabriquer les pantalons ouatés pour les agents de la circulation qui montent sur les motocyclettes contre le vent froid et de fabriquer les pardessus en utilisant des tissus de bonne qualité.
Dans la nuit tardive du 3 janvier 1997,
En disant que le dessin des femmes-agents de la circulation en bottes était bien dessiné, il a donné des instructions minutieuses allant de la question de rétrécir les jambes du pantalon et d’ajouter des visières sur le casque jusqu’à la question d’attacher des boutons métalliques sur le manteau de fourrure et la forme de bouclier au niveau de la manche à la place du brassard.
Quelques jours après, il a reçu la lettre des femmes-agents de la circulation qui, habillées de nouvelles uniformes, lui ont exprimé leur gratitude. Il a insisté aux cadres de fabriquer mieux encore les bottes pour les femmes-agents de la circulation et de leur envoyer aussi des lunettes de soleil pour protéger leurs yeux contre les rayons de soleil.