Insérez les mots-clés Lettre interdit

    La voie du Songun poursuivie par le Dirigeant Kim Jong Il est marquée d’anecdotes de son affection chaleureuse pour les soldats.

    Ce n’était pas simplement pour l’accroissement de la force militaire. C’était aussi le chemin de l’amour du père affectueux pour les soldats.

    C’était un jour de février 1996 où le Général Kim Jong Il a visité une côte en première ligne qui se trouve directement face à l’ennemi.

    Il était si froid. Lorsque le Général était sur le sommet, un vent violent sifflait. Cependant, il a mis longtemps à proposer aux commandants des plans d’opération détaillés destinés à achever les tactiques d’opération face aux tentatives d’agression de l’ennemi.

    Ce jour-là, il a rencontré les soldats qui étaient en faction. Au milieu de la conversation qu’il a tenue avec eux, il a posé un regard expressif à leur uniforme ouaté d’hiver. Il a pris alternativement le devant de l’uniforme de deux militaires pour en examiner l’épaisseur, soudain son visage s’est assombri.

    Il a répété aux cadres qu’il faut faire de sorte que les militaires n’aient pas froid même s’il fallait un peu plus de tissus, disant que l’uniforme ouaté et non piqué vaudrait mieux que l’uniforme ouaté et piqué. Et il est rentré tard dans la nuit.

    En pensant aux soldats qui sont en faction par un temps froid, le Général Kim Jong Il a répété qu’il se sentait le cœur gros parce qu’il ne les avait pas habillés d’uniforme ouaté plus épais et qu’il lui semblait qu’il ne pourrait pas s’endormir puisqu’il avait le cœur navré.

    Un peu plus tard, il a appelé des commandants de l’Armée populaire et des cadres du secteur intéressé et leur a souligné : Il faudra désormais ouater plus épais l’uniforme d’hiver des militaires, et cet uniforme devra être non piqué, car l’uniforme piqué laisse le vent pénétrer ; nos soldats sont le trésor précieux que nul ne peut le remplacer ; toujours attentivement, nous devons prendre soin d’eux qui défendent la patrie, l’arme à la main, pour qu’ils n’aient aucun inconvénient ; à cet effet, les cadres et les commandants doivent porter un amour ardent comme leurs propres parents.

    Sa chambre restait éclairée jusqu’à la levée du nouveau jour.

    Infiniment touchée jusqu’aux larmes, la classe ouvrière des usines de confection s’est consacrée inlassablement à la production des uniformes ouatés d’hiver.

    Informé de ce fait, le Général Kim Jong Il a dit, très satisfait : Voilà notre peuple qui aime sincèrement les militaires ; puisqu’il est leur vrai père, leur vraie mère, il me comprend d’emblée.

    Quelques jours plus tard, les acclamations d’émotion ont fait trembler la côte de la première ligne. Les soldats ont reçu de nouveaux uniformes ouatés d’hiver imprégnés d’une affection chaleureuse du Général Kim Jong Il.

    Les nouveaux uniformes ouatés d’hiver, c’étaient une armure d’amour insufflant une force sans rivale à nos soldats.