Insérez les mots-clés Lettre interdit

C’était la mi-février 1977 quand le Président Kim Il Sung a appelé un cadre pour lui dire de cultiver la terre du jardin. Il lui a recommandé de ne laisser aucune espace dans le jardin et de semer les produits agricoles comme soja.
Etonné de sa recommandation imprévue le cadre n’a pas pu répondre immédiatement. Cette année-là était la première année où le Président a commencé son travail au bureau du Palais des congrès de Kumsusan(appellation d’alors).
Le peuple souhaitait avec instance que le Président, ayant vécu de longues années dans les champs de bataille en flamme et fumée et sur les routes escarpées de directions sur place continuelles en se consacrant corps et âme pour le bien-être du peuple, soit au confort dans le palais le plus excellent du monde.
Pourtant le Président a demandé de planter les produits agricoles dans la terre libre du jardin.
Au bout d’un moment le cadre a répondu à peine. Ainsi dans le jardin du Palais des congrès de Kumsusan a été formé un champ cultivé.
Le Président a par la suite élargi la terre et a désigné les plantes agricoles à cultiver tels que le soja, le maïs, le sarrasin et le haricot violet etc. et il les a même cultivés en personne.
Le Président a dit que si l’on a un champ d’expérimentation près de lui il n’aurait pas besoin d’aller loin pour connaître l’état de récolte, ce qui l’aiderait dans sa direction sur l’agriculture du pays entier. Ce disant il a dit qu’il allait lui enseigner les méthodes de la culture agricole pour l’encourager à bien travailler.
Le Président prêtait toujours une grande attention à ce champ d’expérimentation et se renseignait souvent par téléphone sur l’état du champ que ce soit sur le chemin de direction sur place dans une région lointaine ou dans la nuit avancée pleine de tempête et de pluie. Au retour de sa direction sur place il n’a jamais oublié de passer à ce champ pour s’enquérir des situations dans l’intervalle.
Le Président Kim Il Sung était vraiment un Dirigeant du peuple qui acceptait volontiers les grandes peines pour la vie plus aisée du peuple, et voilà la raison pour laquelle il a préféré l’odeur des céréales plutôt que le parfum des fleurs dans un jardin particulier.